Unique en son genre, la réserve « grands formats » du musée de l’Air et de l’Espace va prochainement accueillir ses premiers locataires : des aéronefs de grande taille, destinés à être restaurés et exposés...

Ouverture de la réserve « grands formats » du musée de l'Air et de l'Espace

VISITE PRESSE : VENDREDI 3 MAI, DE 9H00 À 11H30

Programme : visite de la réserve « grands formats », mouvement de quelques avions et hélicoptères phares (dont l'A26 Invader le Lynx) et visite de la réserve Jean-Paul Béchat

Point de rendez-vous : arrêt de métro La Courneuve - 8 mai 1945 (ligne 7), à 9h00

RSVP : louise@alambret.com

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PLACE AUX GRANDS FORMATS

Le musée de l'Air et de l'Espace inaugure une toute nouvelle réserve, spécialement conçue pour abriter les pièces de collection au format XXL

Unique en son genre, la réserve « grands formats » du musée de l’Air et de l’Espace va prochainement accueillir ses premiers locataires. La collection de l’établissement, exceptionnelle à plus d’un titre, nécessitait une réponse adaptée à ses besoins, que ce soit en termes d’espace ou de conditions de conservation. Cette nouvelle réserve vient compléter la réserve Jean-Paul Béchat qui elle, accueille les pièces les plus fragiles du musée : avions plus anciens et de taille plus modeste, objets et tenues, sculptures, etc.

Que va accueillir la réserve « grands formats » ?

À l’issue d’un mois de marche à blanc, entamé début avril, les grands modèles du musée vont rejoindre cette nouvelle réserve. Parmi eux : l’A26 Invader, l’helicoptère Lynx, le Lockheed Constellation, le Breguet 941 S, le SNCASO Vautour et le Bernard 191, dit l’Oiseau canari. De nouvelles acquisitions viendront compléter par la suite ce panel.

 

« Le musée dispose désormais d’une nouvelle réserve de 3 000 m² adaptée à la conservation préventive d'aéronefs de grands formats destinés à être restaurés et exposés au musée. Cet espace de stockage bénéfice d’une bonne inertie thermique grâce au système de double enveloppe isolée constituant la structure du bâtiment. Il crée un effet « thermos » permettant de minimiser l’impact des variations climatiques et de réduire la consommation d’énergie répondant ainsi aux objectifs de développement durable. »

Marie-Laure Griffaton, Conservatrice générale du patrimoine, Directrice du département scientifique et des collections du musée de l'Air et de l'Espace

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© Musée de l'Air et de l'Espace - Aéroport Paris - Le Bourget / Frédéric Cabeza

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